Je ne dispose plus de temps suffisant pour poursuivre l'animation de ce Blog.
Je vous invite à visiter le Site concernant mon livre Utopies ?
et le Site de l'Association des Auteurs Éditeurs Réunis :
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Un livre pour réfléchir et construire,
bien utile dans notre monde compliqué et confronté à d'énormes défis
Des interrogations, des constats, des critiques, des propositions.
Économie et social.
Réintéresser les Citoyens, oui c'est possible en changeant quelques règles du jeu.
Des lecteurs ont écrit :
"Je m'attendais à un gros pavé ardu. Je dois vous dire que j'ai été très agréablement surprise. C'est passionnant et si humain la façon dont vous traitez ces sujets." (C.L.)"J'ai apprécié le foisonnement d'idées, le bon sens, le style simple, aisé, tel une conversation, les commentaires sur un tas de faits d'actualité." (AMD)"J'ai trouvé un réel plaisir à le lire, à me cultiver, tant il y a d'information dans votre œuvre." (HQ)"Un véritable travail de fond, une réflexion sur la vie, les hommes, le monde, notre mode de vie, qui permet de réfléchir et de s'interroger." (JG)"La façon dont est présenté l'ouvrage est agréable et claire. Merci pour ce livre qui m'a permis de réfléchir et de méditer. (GT)"It is obvious that you are a good thinker. Your writing is very clear, even for someone like me who is not completely at ease with French (AJ).
En politique également, on se dépêche d'apporter des réponses aux nombreux problèmes qui surgissent en permanence. Les moyens utilisés sont insuffisants, la méthode des "contre-feux" n'est pas employée. Élection après élection, on constate que rien n'est vraiment réglé.
Parmi les propositions, on trouve par exemple dans le domaine économique et social, celle du "Bouclier Social" et un développement fort intéressant à propos du "concept de travail", en forte évolution.
Dans notre monde très complexe, on ne peut pas vivre, exister, s'intégrer à la société, sans un minimum de moyens. On s'efforce déjà de les donner, mais de façon trop compliquée et insuffisante. Ce "Bouclier Social" est une remise à plat, accompagnée de quelques améliorations, pour remplacer le patchwork de mesures en vigueur, accumulées les unes derrière les autres.
La notion de travail telle que nous la connaissons depuis des générations est en train de subir une évolution sans précédent. La machine sous toutes ses formes se substitue de plus en plus à l'homme. Les caisses automatiques prennent la place des caissières, les conducteurs de bus, de train, ou les pilotes d'avion vont disparaître. On peut s'y opposer, ralentir le mouvement, mais c'est inéluctable. Et cela va toucher de nombreux domaines.
Ce n'est pas forcément un mal, ce qui nous intéresse ce n'est pas de travailler dur, mais de pouvoir vivre. Une remise en cause de notre appréhension des choses s'impose. Il existe un gisement d'activités peu ou mal exploitées, car non rentables dans la vision économique actuelle. On ne peut pas confiner la prospérité d'une Société aux seules richesses marchandes. Les citoyens et leur bon sens ne cessent de le dire.
Ce qui constitue l'utopie, ce n'est pas la faisabilité des propositions, mais la volonté de le faire. Le système politique dans son mode de fonctionnement présent ne peut pas conduire ces réformes pourtant indispensables. Notre démocratie représentative doit faire une part grandissante à la démocratie directe. Les outils modernes le permettent. Les citoyens doivent comprendre que leur responsabilité est engagée, que ces évolutions qu'ils attendent avec impatience ne pourront se faire que s'ils prennent en main leur destin. Alors, nos démocraties auront toute chance de devenir plus humanistes.
L'auteur, comme tout le monde, s'interroge également sur le sens de nos existences, et nous propose le fruit de ses réflexions dans le chapitre intitulé "nous les hommes". Cette interrogation qui a commencé il y a bien longtemps avec notre apparition, nous les Sapiens, et même peut-être un peu avant, a conduit les hommes à inventer les religions pour organiser leur relation à Dieu. Chrétien, il aimerait voir l'Église entamer une grande opération de dépoussiérage. Une utopie de plus ?
UTOPIES ? de Dominique Dumollard
Prix de l'ouvrage : 22,50 € TTC l'unité
1 volume 14x22 – 390 pages
ISBN : 978-2-35168-065-0 EAN : 9782351680650
Pour vous le procurer :
* Auprès de votre libraire : s'il ne l'a pas en stock, il peut l'obtenir avec les informations ci-dessus.
* Auprès de l'éditeur : Éditions Les 2 Encres - BP 80554 -49305 CHOLET Cedex
Tél. 02 41 56 57 30 - Portable : 06 14 21 32 24 - Fax 02 41 56 45 28 – Site : http://www.les2encres.com
Site éditeur
* Auprès de l'auteur : Celui-ci offre en cadeau soit un livre (voir liste), soit une liseuse (photo ci-contre), jusqu'à épuisement du stock en sa possession. Si vous souhaitez une dédicace, indiquez-le.
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Pour contacter l'auteur : [email protected]
1 – Présentation en quelques mots : des mots autour desquels se développent la plupart des thèmes traités dans le livre, tout comme les pistes de réflexion et les idées proposées.
2 – Présentation plus complète du contenu, développée pour amorcer les échanges d'idées lors de présentations en "réunions animation/débats" ou "conférences".
Il dure 12 minutes. Le livre comporte 390 pages. Le résumer en si peu de temps est chose très difficile et très réductrice. Vous le comprendrez bien. C'est la raison pour laquelle ce qui se trouve dans le diaporama peut sembler parfois trop simpliste. Si malgré cela les idées évoquées vous intéressent, procurez-vous le livre pour les approfondir, et n'hésitez pas non plus à vous exprimer dans le Blog, les commentaires sont faits pour cela. L'apport des idées et les questions ne pourront qu'enrichir ce que j'ai voulu exprimer moi-même.
Merci à vous.
Utopies ? est un ouvrage pour réfléchir sur les grands thèmes qui engagent notre avenir : religion, économie, politique. L’auteur analyse en profondeur et avec érudition l’évolution de l’homme à travers l’Histoire du monde et propose des idées, des pistes de réflexion pour bâtir un monde équitable. Reconstruire au lieu de proposer systématiquement de nouveaux ajustements qui ne construisent rien de solide ni de durable.
On parle beaucoup des défis de l'écologie. Nos dirigeants et l'opinion publique commencent à vraiment prendre conscience de leur importance et de leur urgence. Mais les défis sont aussi de nature économique et sociale. Ancrés dans notre quotidien, ils n'ont pas ce caractère de nouveauté qui interpelle et nous laissent passifs, résignés. Pourtant, tout comme pour les problèmes écologiques nous devons changer nos comportements de manière réfléchie, pour ne pas y être contraints par la force des choses, ce qui serait catastrophique et conduirait vraisemblablement à un retour en arrière désastreux.
La religion est un outil inventé par l'homme pour organiser sa relation à Dieu. Malheureusement, cet outil a souvent été utilisé, et continue à l'être, pour asseoir le pouvoir de quelques-uns. Il est rempli d'un fatras de choses inutiles (dogmes, superstitions, règles, protocoles, cérémoniels, etc.). L'héritage judéo-chrétien, mais aussi celui d'autres courants de pensée, religieux ou philosophiques, est considérable. Il ne s'agit pas de tout rejeter en bloc, mais de réfléchir à ce qui constitue l'essentiel, qu'il convient de mettre en valeur.
L'économie a pour but la création de richesses. Chacun cherche à en obtenir pour lui la plus grande part. La compétition stimule l'innovation et favorise la réalisation de produits de moins en moins chers et donc de plus en plus accessibles à tous. Hélas, la cupidité incite les plus forts à profiter des plus faibles, voire à les exploiter. Il est temps pour nous de faire face à nos responsabilités et de décrire à nos gouvernants la société que nous voulons.
Les systèmes politiques actuels ne pourront pas entreprendre les réformes nécessaires pour répondre à ces défis sans l’adhésion des citoyens, sans la pression qu’ils peuvent exercer pour exiger la mise en oeuvre de vrais schémas plus justes, plus solidaires, plus responsables. Elles ne pourront pas se faire sans l'adhésion des citoyens
Cela nécessite une réflexion d'ensemble, tant les problèmes sont entremêlés. Par exemple : "chômage, précarité, délocalisations, partage du travail, droit au logement, rémunération, retraites, sécurité sociale, etc." sont des sujets qui doivent faire l'objet d'une construction globale. Aujourd'hui, on se contente de promettre un petit quelque chose par ci, un petit quelque chose par là, sans moyens sérieux pour les financer.
Les premiers lecteurs ont écrit :
"J'ai apprécié le foisonnement d'idées, le bon sens, le style simple, aisé, tel une conversation, les commentaires sur un tas de faits d'actualité". (AMD)
"J'ai trouvé un réel plaisir à le lire, à me cultiver, tant il y a d'information dans votre œuvre." (HQ)
"Un véritable travail de fond, une réflexion sur la vie,les hommes, le monde, notre mode de vie, qui permet de réfléchir et de s'interroger." (JG)
"La façon dont est présenté l'ouvrage est agréable et claire. Merci pour ce livre qui m'a permis de réfléchir et de méditer. (GT
Score du Parti Socialiste : 29,4 % des votants.
• Martine Aubry déclare : "Le PS est à un de ses plus hauts niveaux historiques. Les Français aujourd’hui ont exprimé leur refus d’une France divisée, angoissée et affaiblie et voulu exprimer leur souhait d’une France plus juste et forte". Elle constate le refus d'une France divisée de la part des Français, mais elle qui se pose en candidate potentielle à la prochaine élection présidentielle (pour devenir présidente de tous les Français) déclare à propos du résultat de Georges Frêche qu'elle vient d'exclure du parti socialiste : "il faut faire barrage à la Droite en Languedoc-Roussillon", ce qui revient à le soutenir alors qu'il n'était pas convenable, et par conséquent à dire que les citoyens qui votent à droite en Languedoc-Roussillon le sont encore moins !
• Benoît Hamon, porte-parole du PS, questionné à propos du dialogue engagé avec les verts pour faire alliance pour le second tour : "avant le premier tour il y avait des divergences de fond très importantes et il y aura des accords partout, n'est-ce pas artificiel, n'est-ce pas ce genre d'attitude qui décourage les électeurs ? Il répond bien évidemment que non, que cela n'était que débat, plutôt sain. Score de l'UMP : 26,1 % des votants. • Le premier ministre François Fillon prend la parole :"la faible participation ne permet pas de tirer un enseignement national de ce scrutin. Rien n'est donc joué pour le second tour dans de nombreuses régions. Les électeurs ne sont la propriété d'aucun parti.
• Xavier Bertrand déclare que rien n'est joué et refuse d'évoquer une défaite : "ça va se jouer dans un mouchoir de poche". Daniel Cohn-Bendit visiblement énervé lui rétorque : "je trouve ça con. Pourquoi vous ne voulez pas dire que vous avez perdu ?" Bel exemple de débat, mais pour une fois ce n'est pas de la langue de bois ! Score d'Europe-Écologie : 12,1 % des votants.
• Ce même Daniel Cohn-Bendit jubile : "l'écologie est aujourd'hui en France la troisième force politique".
Score du FN : 11,51 % des votants.
Score des autres partis : 20,9 % des votants.
• Parmi ceux-ci, Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) me semble le seul lucide, ou tout au moins le seul à reconnaître la vérité lorsqu'il déclare : "l'abstention n'est pas une case creuse, c'est une forme d'insurrection civique de gens qui disent qu'ils en ont ras le bol, et ça s'adresse à tout le monde"
En effet, on a beau dire que l'abstention n'est pas prise en compte, que cette posture est déplorable, il s'agit tout de même d'un fait particulièrement important. C'est une façon de montrer son insatisfaction devant l'impossibilité de l'exprimer autrement. Je ne pense pas que les hommes politiques ne le comprennent pas, je crois plutôt qu'ils feignent de l'ignorer, parce que ça les arrange et qu'ils sont contraints de le faire pour continuer à jouer le jeu du système dans lequel ils s'agitent.
C'est pourtant un jeu dangereux, "le ras-le-bol" est présent tous les jours, et s'exprime de plus en plus souvent dans la rue, même par des catégories sociales qui n'avaient pas l'habitude de le faire. Il s'exprime aussi dans les entreprises, par le malaise de plus en plus révélé des salariés, par les séquestrations de dirigeants, par la destruction d'outils de travail. Attention à l'escalade, aux surenchères, surtout lorsque nos élites dirigeantes les attisent par leurs dénigrements mutuels systématiques et la conduite indécente de certains.
"Le PS est à un de ses plus hauts niveaux historiques" s'est gargarisée Martine Aubry ! C'est faux ! Peut-être en pourcentage, en pourcentage de quoi ? En pourcentage de même pas la moitié des électeurs. Moins il y aura de votants, plus les pourcentages seront importants. Le tableau ci-dessous montre une réalité beaucoup moins glorieuse.
Par rapport aux : .....Votants en % .........Total des électeurs en %
Total ...........................100,0.............. .........100,0
PS .................................29,4 ............................13,8
UMP ............................26,1 ............................12,2
EE ...............................12,1 .............................5,7
FN ................................11,5 .............................5,4
Reste ............................20,9 .............................9,8
La participation sera-t-elle meilleure au second tour ? Je crains que non. Il y aura parmi ceux qui ne seront pas présents au second tour des électeurs du premier tour qui, déçus, ne participeront pas. Il y en aura d'autres qui, s'étant abstenus au premier tour pour montrer leur désappointement, se manifesteront au second plutôt pour voter "contre" celui que l'on ne veut pas voir quel qu'en soit le motif. Vote que s'appropriera bien à tort celui qui en bénéficie, pour déclarer qu'il a réussi à mobiliser ses électeurs pendant l'entre-deux tours.
J'ai déjà parlé de ces problèmes d'abstentions en d'autres occasions (voir ci-dessous "Elections Européennes).
Je pense que le système politique dans son mode de fonctionnement actuel ne peut pas apporter les réponses attendues par les électeurs de quelque bord qu'ils soit.
• Les citoyens attendent un vrai changement de Société, il n'y a pas de véritable projet pour cela, porté par les différentes sensibilités politiques, d'aucune tendance.
• Les acteurs politiques sont paralysés par la peur de perdre les élections, ils ne cessent de le répéter, ce qu'ils veulent c'est "gagner", et non répondre aux attentes des citoyens.
• N'ayant pas de vrais projets pour se différencier les uns des autres, il n'y a pas de débats dignes de ce nom, seulement des attaques lamentables, contre les personnes, contre les projets présentés par ceux qui sont en place (quel que soit leur bord). Face à ce dénigrement systématique de nos élites par nos élites, chaque réforme présentée suscite la peur de se faire avoir est de plus en plus l'envie de "descendre dans la rue" pour dire non !
• Ils sont "contrôlés" par des minorités puissantes : puissances financières, lobbys, associations militant pour de nobles causes (pas toujours), qui leur imposent chacune à leur façon leurs propres attentes sectorielles, et qui en définitive ne sont pas celles de la grande majorité des citoyens.
• Les mesurettes, les compromis, les amendements, construisent des usines à gaz qui ne fonctionnent pas, tant elles sont complexes et sans ressources financières. Ce n'est pas en prenant une mesure de plus en rendant le vote obligatoire que l'on pourra répondre à ce problème.
Je pense que les citoyens sont demandeurs de réformes, de projets, correspondant à leurs attentes. Ils s'opposent à ce qu'on leur présente pour les raisons évoquées ci-dessus et non pas parce qu'ils n'en veulent pas.
J'ai développé dans mon livre Utopies ? des idées qui pourraient permettre de faire bouger les choses, je le pense. En gros, puisque le système politique actuel (je dis bien le système, pas forcément les hommes) ne le permet pas, il faut changer le système. C'est une chance, les outils modernes de communication pourraient le permettre aujourd'hui. Nous pourrions faire évoluer nos démocraties représentatives vers des démocraties plus directes, dans lesquels ce seraient les citoyens qui feraient les choix parmi des projets qui leur seraient proposés. Je dis bien les choix, pas la construction des projets qui est du ressort de spécialistes, d'experts, proposant différentes alternatives. Quelle révolution ! Ce serait une manière a vraiment responsabiliser les citoyens, à les re-intéresser à la politique. Ce serait également la diminution très sensible du système des privilèges, des pressions inacceptables d'intérêts particuliers. Évidemment, cela peut paraître utopique. Utopique peut-être quant à la volonté de faire, mais en tout cas pas quant à la faisabilité. La volonté de le faire c'est aux citoyens de l'avoir !
Écrire un livre est une belle aventure. Cela demande de la créativité, de l'imagination, du travail, de la persévérance, et bien d’autres qualités.
L'auteur est un aventurier qui s'embarque pour naviguer dans le monde de l'écriture. Une fois l’oeuvre achevée, la satisfaction est grande, et pourtant ce que l’on vient de réaliser n’est qu’une étape.
Lorsque le manuscrit est là, il est légitime de vouloir le faire éditer pour le faire connaître. C’est la tâche de l’éditeur. Éditer, pour que l'oeuvre puisse exister, être partagée !
Nous sommes quelques-uns qui ont décidé de créer pour cela une structure associative.
écrituriales
Association des Auteurs Éditeurs Réunis Nous nous sommes jetés à l'eau le 8 janvier 2010.
Elle a pour objectif de créer une synergie, une entraide, le partage de moyens et d'outils, entre les différents auteurs qui la constituent.
C'est notre manière d'apporter nos gouttes d'eau à l'océan des connaissances.
Nous présenterons nos ouvrages et notre association au
4ème Salon du Livre et de la Mer de l'île de Noirmoutier,
les 11, 12 et 13 juin 2010 à l'Herbaudière. Site
Nous étions une vingtaine, tous plus sympathiques les uns que les autres. H.Robert prenait de temps en temps sa guitare pour accompagner quelques chansons de sa composition. Cette manifestation autour des livres était une première à Plougoumelen. Le maire et les organisateurs ont déclaré publiquement vouloir récidiver l'année prochaine.
J’ai participé avec écrituriales, samedi 20 mars 2010, au Salon du livre de 17610 Chérac, de 9 h à 18 h.Sympathique Salon où nous étions une bonne quarantaine, dans une région où je ne m’étais pas encore aventuré avec mes livres. Ce fut l’occasion de faire la connaissance de nouvelles personnes, toutes passionnées. Un bon moment de rencontres. .
Au cours du Salon j’ai eu le plaisir d’annoncer la création de l’Association : écrituriales - Association des Auteurs Éditeurs Réunis. Cette information est reprise en haut de page de manière un peu plus explicite.
Site du Salon
J'ai dédicacé mon livre Utopies ? au 3ème Salon des Artistes Voyageurs à Capellia - Vendredi 22, samedi 23 et dimanche 24 janvier - 44240 – La Chapelle-sur-Erdre. Un programme bien sympathique : des rencontre avec les Artistes Voyageurs carnettistes, peintres, photographes, auteurs de livres - des projections - des ateliers - la cuisine du monde.
Le Site des Artistes Voyageurs.
Un rassemblement d'individus, qui tous, un jour ou l'autre ont eu envie d'écrire un livre. Beaucoup ont déjà récidivé, pour le plaisir des visiteurs venus à leur rencontre. Il y avait aussi de la reliure, des artistes peintres ou photographes et samedi soir un spectacle théâtre – piano "Madame de Ma Laurie". Petit à petit, rencontre après rencontre, le cercle des amis s'agrandit. Nous étions accueillis dans la "Salle Conviviale" du Puy Saint Bonnet. Elle était plus que conviviale, joliment préparée par la commune et l'équipe des 2 Encres
Forte de ses 600 membres, dans le but de continuer sa mission, l’AEC a décidé en 1997 d’accueillir parmi ses adhérents des écrivains qui, n’ayant pu servir sous les armes du fait de leur génération, ont montré pourtant, par leurs travaux et leur conduite, qu’ils partageaient nos valeurs et notre éthique.
J'ai eu le plaisir de me trouver à côté de Jacques Duquesne qui présentait ses livres : "Le Diable" et "Judas, Le Deuxième Jour". Je n'étais pas trop loin non plus de François de Closets qui dédicaçait son dernier livre, "Zéro faute", plaidoyer pour des règles orthographiques assouplies
En 1062, des moines bénédictins édifient un collège de chanoines. L'architecture romane de l'édifice est marquée par l'influence bourguignonne des moines. Le collège est rebaptisé Collégiale Sainte-Croix lorsque Foulques V, Comte d'Anjou, le dote d'un fragment de la vraie Croix. En 1558, Sainte-Croix, victime de l'intolérance religieuse, est en partie brûlée par les protestants. En 1634, des séances d'exorcisme s'y dérouleront dans le cadre du procès d'Urbain Grandier, affaire plus connue sous le nom "des possédées de Loudun". À la Révolution, la Collégiale, devenue bien national, est transformée en halle à grains. À la fin du 19e siècle suite à un incendie, Sainte-Croix sera revêtue de sa charpente métallique actuelle, charpente provenant de l'Exposition universelle de 1889. La Collégiale devient alors un marché couvert. Restaurée par la municipalité de Loudun, Sainte-Croix est depuis 1995 un lieu de concerts et d'expositions d'art contemporain unique dans la région.
Le Salon était surtout dédié à la présentation de livres anciens, de papiers de collection, de gravures, d'affiches, de vieux journaux ou documents d'archives et du côté droit de la nef nous étions une demi-douzaine d'auteurs présentant nos propres écrits. La journée fut riche en contacts et en discussions sympathiques avec les nombreux visiteurs.
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